Je ne parle pas des appels durant lesquels ils ont bafouillé ou n’ont pas été convaincants, mais de la première fois où ils tombent sur un mauvais client…
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Archive d’étiquettes pour : réseau
Chaque fois que j’accompagne quelqu’un, cette personne est hors de sa zone de confort.
J’ai parfois l’impression que c’est de ma faute: tout ce que je leur propose de faire, qu’il s’agisse de trouver un nouveau job ou de mieux vivre leur vie professionnelle, est nouveau, différent, peu évident, délicat, difficile… Bien entendu, il ne s’agit pas de moi: ils ont eu l’intelligence de se faire accompagner pour mettre en œuvre quelque chose qu’ils jugeaient nécessaire mais n’étaient pas certain de pouvoir accomplir seul.
En tout cas, ce serait une erreur de considérer mes mentorings uniquement comme de la transmission de savoir, de méthodes et d’outils. Il y est surtout question de travail et d’efforts sur la durée, de doute, de remise en question, de volonté et de résistance.
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Les questions sont: «comment rester performants et motivés lorsque l’on est au chômage?» et «Comment rebondir après un licenciement et ne pas tomber dans le désarroi?»
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C’est un travail de longue haleine relativement répétitif – oscillant entre le franchement barbant et le légèrement ennuyeux – mais qui connait, heureusement, quelques fulgurances, liées à certaines rencontres et quelques ‘victoires’. Mais nous n’avons pas le choix il faut s’y adonner avec assiduité, constance dans l’effort et persévérance…
Au risque de paraître encore moins funky, je propose comme solution à cette situation: la routine!
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On peut ainsi avoir une vie riche. On peut se croire populaire. Mais la vraie vie ne peut être vécue en pyjama du fond de son lit!
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Comment dans ce cas expliquer que certains réalisent une transition avec aisance en deux mois alors que d’autres luttent pendant un an?
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Je vous observe. Et je vois la plupart d’entre vous tirer la langue depuis une ou deux semaines, voire trois…
Les grandes vacances approchent. Et vous êtes, en tout cas pour ceux qui ont commencé leurs recherches au premier trimestre ou en avril, F-A-T-I-G-U-E-S!
Je vous comprends très bien. Mais je ne souhaite pas écrire un article pesant sur le sujet, vous demandant encore des efforts. Voici donc quelques notes ‘légères’ à ce propos.
Il y a peu, je vous parlais de la naissance d’un groupe; je dois donc vous parler de la fin d’un groupe.
Fatalement, mon accompagnement, pris individu par individu, s’arrête toujours. Lorsque l’on met en place une dynamique de groupe, et que tout le monde a commencé à peu près au même moment, les premiers départs risquent forcement d’enrayer celle-ci.
Ce n’est pas une raison pour arrêter le travail en groupe, encore moins pour ne pas en créer en premier lieu, les bienfaits du groupe sont trop nombreux. C’est une donnée organique inévitable, à laquelle chacun des participants (ou presque!) doit faire face. Et qui au final ne doit pas trop perturber. Comme dans tous les organismes vivants, la vie se renouvelle, je fais donc rentrer de nouvelles personnes dans les groupes pour combler les départs. Et le travail en commun ne cesse jamais.
« … Mais pourquoi diable devrais-je utiliser votre approche? Elle ne me convient pas.
Je n’ai pas envie de me camoufler derrière ce blabla, cette offre de service virtuelle, et utiliser des stratagèmes pour approcher mon potentiel futur patron: je n’ai pas honte de moi, ni de ma situation. Je veux approcher les gens parce qu’ils ont un poste à pourvoir ou pour leur demander s’ils en ont un à pourvoir auquel je correspond. »
Et pan!
Voici le direct du droit que j’ai pris à la pointe du menton hier midi.
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Aujourd’hui je souhaite parler d’attitude, et pour une fois je ne m’adresse pas vraiment aux personnes que je soutiens dans mon activité quotidienne.
Je voudrais parler à ceux qui jouent le rôle de relais: vous, nous, tous ceux qui reçoivent de temps en temps un e-mail, un appel sur recommandation venant de quelqu’un qu’ils ne connaissent pas mais qui souhaite leur parler. Nous qui sommes débordés, et qui n’avons -bien entendu- pas de temps à consacrer à un inconnu qui, soyons bien clair « personne n’est dupe », veut nous parler parce qu’il/elle cherche un job.
Ceux que j’accompagne me le disent souvent: « cela s’est très bien passé avec le contact réseau que j’ai rencontré hier, elle avait déjà vécu un outplacement, elle connaissait (ma situation) donc elle s’est montrée très sympa et bienveillante ».