Just think of happy things, and your heart will fly on wings, forever, in Never Never Land*
Comment concilier exigence et bienveillance? … How could you make your team happier? … Cevital qui investit dans les 2 usines Brandt qu’il a racheté … 7 bonnes nouvelles industrielles pour démarrer la semaine … Angoulême a trouvé la formule pour devenir la reine de l’animation…
Ceux qui me suivent sur Twitter le constatent, 1/3 en moyenne de mes message porte sur des informations positives, comme le montre ces exemples de la semaine dernière.
Que voulez-vous que je vous dise: je préfère quand les choses vont bien!
Parmi les cadres et managers que j’accompagne en ce moment, quel que soit le type de programme, 2 ont trouvé un nouveau job, 2 viennent de prendre de belles commandes et 1 vient d’être acceptée dans un MBA! Rien n’est aussi bon pour le moral qu’un résultat positif tangible. Et 5 dans le même mois (pas encore terminé en plus), je vous prie de croire que c’est du lourd!
Maintenant, je pourrais aussi analyser la nouvelle de la sorte:
«5 personnes qui sortent de mes programmes! Où vais-je trouver leur remplaçants, alors que je n’ai pas le temps de faire de développement commercial?»
Ou encore:
«Il en aura fallu du temps! Mais peut-être ai-je mangé mon pain béni, car maintenant avec ceux qu’il me reste cela risque d’être très difficile!»
Mais quel intérêt pourrais-je réellement avoir à envisager les choses sous un angle négatif: cela les ferait-elle changer? Si la route que je dois maintenant parcourir est ardue, je préfère l’aborder avec optimisme et tout un bagage de récentes bonnes nouvelles motivantes, plutôt qu’une analyse précise des raisons pour lesquelles les obstacles risquent de m’être insupportables.
Je ne me fais pas d’illusions, je pense simplement que notre attitude influence nos résultats.
Je crois que l’on peut réellement se programmer, pour réussir.
J’adore regarder les sportifs professionnels: même sans bien maitriser la technique, on voit rapidement ceux dont la motivation est immense; et ceux qui n’ont pas fait l’effort. Au-delà de leur rituels (tics?) parfois énervants, je pense que c’est véritablement ce qui fait d’un Nadal ou d’une Sharapova des machines extrêmement difficiles à battre. Et ne peut-on pas analyser les déconvenues ‘footballistiques’ de l’Espagne face aux Pays-Bas et au Chili sous cet angle?
J’ai déjà touché en partie ce sujet dans un article précédent (‘I’m picking up good vibrations’). Je maintiens que les attitudes et pensées positives nous aident réellement dans nos projets et dans nos luttes.
Je ne pense pas qu’à cause de tout cela je vive dans le monde des Bisounours; je pense vivre dans la réalité. Ce qui est certain en revanche, c’est que je ne vis pas dans le monde des corbeaux et des oiseaux de mauvais augure. A la différence des politiciens: je n’ai pas besoin de faire peur pour vendre mes services…
Pour Magda
*J.M. Barrie – Peter Pan
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